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Le ROI du temps

ROI-CLOCK

Connaissez-vous l'expression : "Le temps c'est de l'argent"?

Bien sûr que oui! Tout le monde a déjà entendu quelqu'un dire des choses comme: "Arrête de perdre ton temps. Tu sais le temps c'est de l'argent" ou autres variations sur le même thème. Bien sûr que le temps peut se représenter sous forme d'argent. Quand on parle de gestion de projet ou de rémunération de ressources, c'est encore plus vrai. Mais, est-ce toujours vrai? Combien vaut-il ce temps? Est-ce que toutes les sortes de temps se valent? Le temps connait-il une inflation et y a-t-il un marché boursier du temps?

On a beau avoir l'impression que la vie va de plus en plus vite, il n'y a heureusement pas d'inflation sur le temps. Les heures durent le même temps depuis toujours. Nous n'avons pas non plus d'action en bourse où transige des unités de temps. Notre temps nous appartient à nous tous, il ne nous coûte rien et même si notre temps ne se transige pas en bourse, on peut tout de même l'investir. Il n'en tient qu'à nous de perdre notre temps ou l'investir à faire quelque chose de lucratif ou de ludique.

Si on peut parler de notre temps en termes d'investissement, on peut alors parler de retour sur investissements et de point mort?

Point mort et ROI

Point mort et ROI

Le point mort

En gestion de projet, le point mort, c'est le point de rentabilité. C'est le seuil de vente suffisant pour égaler la somme des coûts fixes d'opérations et des coûts variables de productions. C'est quand on traverse le point mort que les pertes se transforment en profits et inversement. Ce concept financier se transpose facilement au domaine du temps.

1- On doit premièrement déterminer notre budget de temps. Combien avons-nous d'heures par semaine à investir pour chacune de nos activités. Ce n'est qu'une fois le budget établi qu'on peut commencer à évaluer notre rentabilité. Par exemple, pour une entreprise, le coût du loyer est un coût fixe. Pour une personne, les heures de sommeil représentent les coûts fixes. On doit dormir entre 49 et 56 heures par semaine. Sans ça, on ne peut pas survivre. Sans local pour opérer, on ne peut pas travailler. On détermine ainsi notre budget ou disons notre horaire.

2- On détermine ensuite notre indicateur de performance. Contrairement au point mort financier où l'indicateur monétaire est préétabli, dans le cas du temps l'indicateur dépend du type d'activité. S'il s'agit d'une activité lucrative l'indice servant à mesurer les ventes sera l'argent et s'il s'agit d'une activité ludique, on peut mesurer notre niveau de stress ou notre degré de fun. S'il s'agit d'une activité sportive, on pourrait peut-être utiliser l'IMC (indice de masse corporelle). Pour savoir quel indicateur utiliser, on se demande pourquoi on a choisi de faire cette activité. On peut aussi utiliser la méthode des 5 pourquoi pour déterminer notre motivation profonde à faire cette activité.  Donc on choisit quoi observer pour mesurer notre retour sur investissement.

3- Finalement, on évalue le point mort. L’équation du point mort financier est présentée ci-dessous. Le point mort est atteint quand l’équation est vraie donc quand le chiffre d’affaire égale la somme des coûts variables et des coûts fixes. Après de point, on peut dire que l’on cesse d’investir de l’argent dans un projet et qu’il commence à se rembourser lui-même.

point mort

Sans vouloir entrer dans des explications mathématiques, dans le domaine de la gestion du temps, ça revient à se définir un seuil de satisfaction. C’est à ce point que l’investissement en temps ne nous déçoit pas et ne nous satisfait pas en même temps. C’est le point mort.

Prenons un exemple d’André qui veut perdre du poids.  Son but est d’atteindre un IMC de 20. En faisant de l'exercice 4 heures par semaine, André observe que son IMC se maintient à 23. C’est le point mort entre le temps investi dans l'activité physique et son IMC.

Le retour sur l'investissement (ROI)

Le retour sur investissement (ROI, Return On Investment) est intimement lié au point mort. Il utilise lui aussi les mêmes indicateurs de performances. Dans le domaine des finances, le ROI c’est le temps écoulé pour que les sommes investies soit égales aux sommes dégagés. Après de point, on peut dire que l’on génère des profits.

Le ROI du temps c'est le temps écoulé entre le début d'une nouvelle activité et le moment où on se dit : "mission accomplie". C’est là où la somme des gains est égale à la somme des investissements fait depuis le début.

Reprenons l’exemple d’André. Au fond André veut savoir combien d'heure par semaine il doit consacrer à son entrainement pour atteindre son objectif. Comme le point mort est de 4 heures par semaines, André devra investir plus de 4 heures pour générer les bénéfices. André décide donc de faire 1 heure de sport tous les jours. Ce qui fait 7 heures par semaines. Au fil des semaines, il mesure son IMC et observe qu’il diminue. Il aura atteint son point de ROI au moment où, enfin, il aura atteint l'indice de 20. Plus on investit, plus le délai de ROI sera court mais l'effort total investi, élevé. Donc s’il avait voulu, il aurait pu choisir de faire 2 heures de sport par jours. Il aurait atteint son objectif plus rapidement mais il aurait aussi investi plus de temps.

Le ROI du temps c'est l'outil qui nous permet de choisir où et comment investir nos efforts et notre temps dans un but donné. C'est ce qui nous permet de choisir une activité plutôt qu'une autre. En affaire, c’est ce qui nous fait choisir un marché plutôt qu'un autre et un client plutôt que l’autre. Le temps c'est de l'argent et il est impératif de choisir nos activités en fonction de l'efficacité que nous souhaitons et du but que nous voulons atteindre. Enfin, il ne faut pas perdre de vue l’importance de l’intégrité dans nos choix.

Marie-Ève Baron

 

"Le ROI du temps est un outil simple qui nous aide à mieux choisir et à éliminer le gaspillage en optimisant notre efficacité."

 

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Storytelling: influence ou manipulation?

il était une fois

Hier, paraissait sur le site de Dixit Coaching, un article sur un art qui se perpétue depuis la nuit des temps. Un art que notre Fred Pellerin national se fait un devoir et même un honneur de nous faire revivre, à la manière de nos ancêtres, des histoires où l’humain et l’imaginaire se côtoient. Il nous raconte des contes.

L'objectif de cet exercice: communiquer un message et divertir. Parce que le message passe par le divertissement, il est saisit plus facilement par l’auditeur qui se laisse porter par les images plus riches les unes que les autres. Le déroulement de l'histoire avance et appuis le message en faisant changer les perspectives de celui qui imagine l’histoire. Cette mécanique du cerveau fait en sorte de favoriser le passage du message jusqu'à ce qu‘il émerge par lui-même dans l'esprit de l'auditeur.

N’est-ce pas ça la magie du conte? On n’a même pas à convaincre l’auditoire de ce qu'on a à dire. Ils le font par eux-mêmes. Quand on maitrise cet art, on arrive à faire passer nos messages avec puissance. Alors une question me saute aux yeux :

Est-ce de l'influence ou de la manipulation?

Réussir à manipuler et réussir influencer quelqu’un, revient l’amener à lui faire faire quelque chose. La différence entre l’influence et la manipulation réside dans l’intention de l'émetteur à influencer ou à manipuler. Dans le cas où l'émetteur veut manipuler, il n'est certainement pas ouvert à écouter et à changer son point de vue. D'utiliser les histoires avec de mauvaises intentions, n'est pas d'une grande droiture vous en conviendrai. Mais quand l’objectif de raconter une histoire est de divertir ou d’améliorer l’expérience de l’auditoire, c’est autre chose. Si tel est le cas, notre influence sera positive et améliorera l’expérience ceux et celles qui nous écoutent. Ils auront envie de nous écouter à nouveau et  tous en sortiront gagnants

Ayez de bonnes intentions et racontez-moi votre histoire!

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Les trappes à souris – de l’apprentissage dans le feu de l’action

Avez-vous des trappes à souris à la maison? C'est presque une guillotine pour ces petits rongeurs, n'est-ce pas?

Ce n'est pas seulement ça! C'est aussi un dispositif très utilisé pour favoriser l'apprentissage. Oui oui! Une trappe à souris qui  est armée est à manipuler avec précaution si vous ne voulez pas vous faire taper les doigts. Le stress ressenti quand nous avons cette trappe entre nos mains lorsqu'elle est armée s'apparente à la peur. Le simple fait que nous sachions qu'un seul faux mouvement peut faire exploser ce dispositif entre nos mains et risquant de nous blesser nous rend très attentif à ce que nous faisons et surtout l'intensité de l'émotion vécu fait en sorte que nous nous souviendrons de notre expérience.

Dans cet objectif, pourquoi ne pas utiliser ce sentiment pour favoriser l'apprentissage d'un concept. Il faut simplement faire faire un jeu à l'aide de trappes à souris et tous les participants se souviendront de l'exercice parce qu'il leur aura produit un sentiment fort.

Dans l'apprentissage par l'action les trappes à souris sont souvent utilisées pour illustrer des processus, pour définir un objectif ou simplement comme outils stressant.

Par exemple, si vous voulez enseigner à un groupe gestionnaires les bonnes pratiques sur comment donner des instructions. Vous leurs bandez les yeux et vous demandez à l'un deux d'enseigner aux autres comment faire pour désamorcer une trappe à souris avec les yeux bandés. L'exercice de synthèse requis pour expliquer à quelqu'un qui ne voit pas comment faire pour rendre ce dispositif inoffensif est en fait la base pour bien savoir donner des instructions à quelqu'un.

Comme il y a un danger imminent de se blesser, l'instructeur prend alors une attention beaucoup plus grande à valider que son employé a bien compris les instructions et qu'il ne se blessera pas. Comme la personne ne voit pas ce qu’elle fait, l’instructeur doit organiser et simplifier ses idées pour les rendre plus précises et claire.

En vivant cet exercice, les participants vivent une situation plus intense qu’à l’habitude et ils se souviendront plus facilement de comment faire pour donner des instructions simples, claires et précises.

C’est la même chose qui se passe peu importe quel idée on enseigne, mettre les gens en situation où ils doivent y arriver va leur permettre de concrétiser leur apprentissage en un souvenir précis et vraiment pouvoir utiliser cet apprentissage dans le futur.

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L’échelle d’abstraction, pour trouver la vrai raison du pourquoi.

L'échelle d’abstraction est l'outil clé pour la sélectionner et valider efficacement nos objectifs.

Dans le travail comme dans la vie, nous souhaitons tous réaliser nous objectif. Nous souhaitons plusieurs choses sans même les formuler en objectif clairs.

Dans le domaine du travail, on veut améliorer nos processus et nos pratiques. On voudrait que la machine #3 soit réparée, que l’on consulte le concepteur avant de lancer le projet, que l’on améliore notre financement ou notre visibilité ou encore que l’on embauche enfin un ingénieur pour faire nos conception, etc. etc. Nous avons des centaines de souhaits qui permettraient de nous améliorer.

D’un œil plus personnel, on entend souvent des choses comme: "Si c'était moi le président je ferais..." ou encore : « à sa place, je ne ferais pas ça de même… ». Ces affirmation sans but réel sont souvent des souhaits et il ne faut pas les mettre de côté. Ils sont plus souvent qu’autrement des manifestations d’autres souhaits que nous avons au fond de nous.

Ça ne veut pas nécessairement dire que : « Si j’étais à la place de Pauline, j’éliminerais la taxes de vente au Québec », on doit se lancer en politique. Oui, il faut réaliser nos rêves mais il ne faut pas non plus sauter dans toutes les directions comme une poule sans tête. Nous devons choisir lesquels de ces souhaits nous réaliserons. Souvent nous le faisons sans analyse et sans grand questionnement. Mais pour des décisions importante, vaut mieux utiliser une technique. Voici donc l'échelle d'abstraction.

Dans le travail et dans la vie personnelle on peut utiliser des techniques créatives de résolution de problème. L’échelle d’abstraction est de loin le meilleur outil pour analyser et arriver sélectionner ces souhaits et voir s’il faut quitter notre emploi et se lancer en politique ou prendre rendez-vous avec notre conseiller en sécurité financière pour établir des stratégies pour diminuer nos impôts.  L’outil nous permet de voir pourquoi on souhaite et aussi qu’est-ce qui nous empêche de réaliser ce souhait. Le diagramme suivant montre l’outil lui-même.

Dans la case au centre on inscrit notre souhait initial. Par exemple : «  je souhaite qu’il n’y ait plus de taxe de vente au Québec. » Ensuite on débute par se poser la question pourquoi on a ce souhait. Dans la partie du haut, on inscrit au premier niveau chaque raison dans une nouvelle boite. Ensuite on reformule chaque raison en un nouveau souhait et on poursuit avec un autre pourquoi. Jusqu’à arriver à une raison générale ou une vérité absolue. Par exemple, on voudrait éliminer la taxe de vente pour avoir plus d’argent dans nos poches. Alors on reformulerait : « Je souhaite avoir plus d’argent. » On se pose encore une fois pourquoi on voudrait avoir plus d’argent et on arrive à une deuxième raison qui pourrait être : « pour être plus à l’aise dans la vie. » En reformulant à nouveau, on arrivera tôt ou tard à une raison comme : « pour être plus heureux » et inévitablement à : « parce que tout le monde veut être heureux ». À ce moment-là, on doit arrêter la chaîne des pourquoi.

On monte la partie du haut du diagramme avec quelques séries de pourquoi et en reformulant la raison de chacun en un nouveau souhait. On fait ça pour quelques raisons initiales. Par exemple pour la taxe de vente, on pourrait vouloir l’éliminer pour simplifier le système d’imposition et ensuite diminuer les coûts d'opération du gouvernement. À ce moment-là les souhaits secondaires seront complètement différents. On en arriverait probablement à vivre dans un monde meilleur à la fin de la série.

Pour la partie du bas, c’est le même stratagème mais la question qu’on se pose c’est qu’est-ce qui m’empêche de… et on reformule en un nouveau souhait pour se poser la même question. Dans notre cas, ce qui m’empêche d’éliminer la taxe de vente c’est parce que je ne suis pas ministre. Et le souhait suivant pourrait être : « je souhaite devenir ministre » ou encore « je souhaite influencer le ministre. »

On construit la partie du bas de la même façon que la partie du haut et à la fin, on a un arbre de raison et de souhait primaire, secondaire et tertiaires etc…

Il y a potentiellement un de ces souhaits qui doit être plus important que les autres. Et c’est la que la magie s’exerce.

On assigne un numéro à tous nos souhaits de la partie du haut et du bas pour les mettre dans une liste qui ressemble à :

À partir de cette liste on peut utiliser plusieurs outils de sélection pour déterminer quel est notre souhait profond ou quel sont les souhaits qui reviennent le plus souvent. On peut alors avancer que c’est ce sur quoi on doit travailler. Je traiterai des outils de sélection dans un prochain article.

En résolution de problème, la phase de sélection du problème est cruciale puisqu’elle nous permet de ne pas gaspiller nos énergies à travailler sur quelque chose que l’on ne souhaite pas vraiment et nous évite de faire de mauvais choix.

L’échelle d’abstraction nous permet d’explorer nos espoirs et nos vision en profondeur et ainsi mieux orienter nos décision avenir. Utilisez-la et prenez de meilleures décision.

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Conaissez-vous IFTTT?

Est ce que vous faites partie de ceux qui avec un compte Facebook? Faites-vous partie de ceux qui sont sur Linked-In? Avez-vous un Drobbox, accro aux SMS, un compte Gmail ou un agenda Google? Utilisez-vous Foursquare, RSS, Instagram, YouTube ou Twitter? Avez-vous un Blogspot ou wordpress?

Si vous avez répondue oui à plus d'une de ces questions lisez ce qui suit. J'ai commencé ma journée avec un nouvel outil 2.0. Le IFTTT se prononce comme le mot "gift" en anglais mais sans le "g".

IFTTT est un créateur de recettes de publication de pour les réseaux sociaux. Plus vous avez une grande présence web, plus vous allez aimer cet outil. Il vous simplifia la vie!

IFTTT permet de publier, diffuser, partager différent flux de donnée 2.0 entre eux. Il s'agit de savoir ce que l'on veut automatiser et le tour est joué. Prenons un cas concret:

Vous avez un compte Facebook, un compte Linked-In et un compte twitter. Vous pouvez demander à IFTTT de publier pour vous vos status Linked-In sur Facebook et Twitter. Vous pouvez aussi choisir de télécharger vos photo où vus êtes identifié sur facebook vers un compte Dropbox ou votre Google Drive. Libre à vous de choisir si vous voulez connecter votre feed RSS favoris à votre courriel ou encore votre Blogue vers votre Linked-In.

Aussi simple que:

On se crée des règles de partage entre nos comptes et le tour est joué! Amusez-vous!!!

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Gmote, flexible et simple pour vos présentations.

Quand vous donnez une présentation et que vous vous retrouvez devant votre auditoire, vous ne voudrez surtout pas vous retrouver coincé derrière votre petit écran pour changer les images. Vous voudrez vous retrouver avec eux et utiliser votre présentation pour appuyer vos dires sans être l’esclave du clavier. Vous ne voudrez pas plus faire des vas et viens entre le microphone et votre ordinateur.

Qu'utilisez-vous comme logiciel de présentation? Le très populaire MS PowerPoint, le très nouveau Prezi ou tout autre logiciel de présentation ou de lecture de vidéo? L'important c'est d'utiliser un appareil mobile Android. Dans ce cas, j'ai la solution pour vous : Gmote! Un logiciel qui s'installe sur votre dispositif mobile et sur votre ordinateur transformant ainsi votre mobile en télécommande pour votre ordinateur. Le plus beau côté: C’est complètement gratuit!

Essayez-le, vous pourrez démarrer des présentations ou des vidéos à partir de votre mobile. Pour des cas plus complexes vous pourrez même utiliser le clavier ou la souris à distance.

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Le diagramme de Pareto

Quand on parle de Méthode de résolution de problème, on parle d'outil de sélection du problème. Comment fait-on pour choisir le problème sur lequel on devrait travailler?

La première étape consiste souvent par un ou quelques souhaits initiaux desquels plusieurs problèmes surgiront. L'étape suivante est la collecte des données qui nous permettrons de choisir le problème. Le diagramme de Pareto nous permet de déterminer quel sont les problèmes les plus problématiques.

Par exemple, si on veut augmenter notre visibilité (ou inversement de diminuer notre invisibilité), sur les réseaux sociaux par, nous devons déterminer les causes et mesurer leurs impacts. Une fois cette collecte d'informations faites, nous sommes capable de préparer un diagramme de Pareto. En voici un exemple:

Pareto

On voit que les source d'invisibilité T, A et C représente 80% du problème et ils ne sont que 3 sources sur 15 raisons différentes. Avec l'outil de Pareto, on peut facilement représenté que 80% de l'invisibilité sur les réseau sociaux est causé par 20% des sources de problèmes.

Pourquoi perdre notre temps à essayer travailler sur les 12 autres sources d'invisibilité alors qu'en travaillant sur seulement 3, on va s'améliorer de 80%. Augmenter votre ROI de résolution de problème en utilisant le diagramme de Pareto.

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